Inauguration de la première murale extérieure à Malartic : un hommage à l’héritage des femmes de notre communauté

Communiqué de presse
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La Ville de Malartic a inauguré le 10 décembre dernier sa toute première murale extérieure. L’œuvre intitulée L’Étoffe de nos mères a été réalisée par l’artiste Ariane Ouellet en collaboration avec les muralistes Andréanne Boulanger et Annie Boulanger, originaires de Malartic.

Présentée au Théâtre Malartic, l’inauguration a rassemblé plusieurs intervenant(e)s ayant contribué à la réalisation de ce projet artistique d’envergure. Casey Paradis, représentant du Fonds Essor Canadian Malartic, a souligné l’importance de soutenir des initiatives qui enrichissent le milieu de vie. Nicole Dumas, de la Société d'histoire de Malartic, a mis en lumière le travail de recherche réalisé sur les femmes représentées, notamment Lise Gagné Rousson, Garde Morton et la famille Abud. L’artiste Ariane Ouellet a ensuite partagé les intentions artistiques guidant la création de cette œuvre profondément ancrée dans l’identité locale.

Cette murale constitue un hommage à l’apport essentiel de générations de femmes ayant façonné la communauté malarticoise : mères, enseignantes, commerçantes, infirmières, sages-femmes, artistes, travailleuses de secteurs non traditionnels et tant d’autres. Leurs actions, parfois discrètes, mais toujours déterminantes, ont contribué à bâtir le tissu social, culturel et économique de Malartic.

L’Étoffe de nos mères s’intègre pleinement aux orientations de la Politique culturelle de la Ville de Malartic, qui valorise l’art public comme moteur de vitalité, de réflexion et de rassemblement.

La Ville de Malartic tient à remercier chaleureusement toutes les personnes et organisations ayant participé à la concrétisation de ce projet :

• le Fonds Essor Canadian Malartic,
• le ministère de la Culture et des Communications,
• la Société de développement économique de Malartic,
• la Société d’histoire de Malartic,
• les propriétaires de l’immeuble, Zoé Petit et Frédérik Gravel,
• ainsi que tous les autres collaborateurs impliqués.

Cette première murale témoigne de la créativité, de la mémoire collective et de la solidarité qui caractérisent Malartic. Elle marque une nouvelle étape dans le développement culturel et identitaire de la Ville.

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